Ma femme esclave s’habitue à me servir constamment. Être mon jouet, un cendrier, un urinoir et une toilette. Elle est encore gênée quand je lui dis de se mettre à genoux et de se préparer. J’aime la baiser dans le cul, l’attacher et mon mari m’aide avec cela. Au début, elle gémit, mais au fil du temps, le sexe anal a commencé à lui procurer de plus en plus de plaisir et de satisfaction. Maintenant, elle se penche et relève son cul pour une baise anale et finit par en avoir envie. J’aime vraiment ça, elle devient une vraie chienne anale. Et bien sûr, après une attache et un cul, elle veut déféquer. Un pet accompagné de bulles s’échappe de son cul. Il doit avoir pompé de l’air lorsque je l’ai baisée dans le cul. Des crottes pressées sortent de son cul. L’odeur est presque imperceptible. Ma femme esclave est si pure que même ses pets sont à peine perceptibles. C’est mon trésor, ma salope, mon innocence vicieuse.
Fiente salée pendant la défécation bulleuse
La femme esclave piétinait, faisant des mines. Qu’est-ce que tu es, un trou, tu veux chier ? Asseyez-vous et chiez, habituez-vous à chier en public ! Du cul, la merde bouillonnait, des pets odorants s’échappaient sans cesse. Assis sur une cuvette de toilettes, faites caca correctement. Ces sons de pets constants accompagnent continuellement ses efforts. Étonnamment, sa merde ne sent pas du tout.