Ma amie Claire me rejoint pendant que je me prélasse sur le canapé, les pieds posés sur mon tabouret humain. Mais Claire remarque tout de suite que la tête de mon esclave est enfermée dans une sorte de boîte. Je lui explique qu’il s’agit de l’empêcher de bouger, mais en fait, cette ouverture autour de son visage est assez tentante pour s’y asseoir. Claire veut essayer et en effet, c’est très amusant car non seulement cela offre un siège confortable, mais il y a aussi le plaisir de faire perdre connaissance à l’esclave qui se débat et gesticule désespérément pour nous faire lever. Ce jeu devient notre passe-temps favori pendant les dix prochaines minutes, au cours desquelles nous nous relayons pour nous asseoir sur son visage et bloquer sa respiration avec nos fesses imposantes.