Aujourd’hui, je dois diriger une séance d’entraînement au fouet avec mon esclave, mais elle se présente en retard et, pire encore, habillée, alors qu’elle devrait être nue. Elle n’aurait pas dû m’énerver avant une séance de flagellation ; maintenant mes coups seront encore plus forts et impitoyables. À genoux et appuyée contre le canapé, j’ai tout son dos à ma disposition et mon fouet à neuf queues commence à rendre sa peau très rouge. Quelques claques de temps en temps, puis des coups de fouet puissants qui lui coupent presque le souffle. Je la domine complètement et cela la excite, je le sais et je le ressens en touchant entre ses jambes. Elle essaie de supplier pour avoir pitié, mais je l’ignore et la fais allonger sur le sol où je continue de la frapper pendant que le bout de ma botte atteint entre ses jambes pour la masturber. Je suis prêt à arrêter les coups seulement quand elle commencera à lécher mes bottes rouges en cuir sur lesquelles je cours aussi ma salive afin qu’elle puisse boire.