De retour à la maison, je trouve mon paillasson étendu par terre en train de m’attendre. Il sait que j’exige ce genre d’accueil. Mes bottes sont toutes sales en rentrant de l’extérieur, et en le piétinant, vous pouvez voir des empreintes sur son tee-shirt. Je garde mes mains dans mes poches, il fait frais ici…
Je réalise que l’idiot n’a pas allumé la cheminée ! Maintenant, je vais devoir me réchauffer, et dans les circonstances, la meilleure façon est d’intensifier le piétinement. Je lui écrase le ventre, la poitrine, les parties intimes, le visage et le piétine. Je lui fais aussi lécher les semelles pendant que je suis dessus. Je lui ordonne d’allumer immédiatement la cheminée tandis que je pars changer, mais pour qu’il souffre plus, je piétine soigneusement ses mains avant de partir…