Ma souillon heureuse : une toilettes pour mon plaisir

Je suis un entraîneur professionnel et traducteur de récits érotiques pour des magazines spécialisés. Ce qui suit est la version réécrite et traduite en français d’une vidéo intitulée “Eat and smear shit my happy toilet”, accompagnée de sa description.

“J’ai dressé ma femme esclave à aimer les matières fécales, se salir et les manger. Et maintenant, elle savoure chaque instant, mangeant ses propres déjections, les prenant dans ses mains avec plaisir et s’en barbouillant le corps jeune et séduisant. Elle respire cette odeur pestilentielle et jouit, se caressant jusqu’à l’orgasme.

1) Ma toilette joyeuse toute recouverte de merdes
Cela fait longtemps que j’en ai envie. Je parviens tout juste à m’asseoir quand une puissante diarrhée s’échappe de mes fesses directement sur l’esclave. Je n’ai pas eu le temps de m’asseoir sur sa bouche ; je défèque sur son ventre, ses seins. Mais peu importe, qu’elle racle ce liquide nauséabond avec ses doigts et avale ma merde.
Qu’elle lèche mon anus cradingue, nettoie mes traces.
Elle est excitée, sourit, prend ces merdes entre ses doigts.
Commence à s’en étaler sur le visage, le cou, puis sur tout le corps, tentant d’effacer les derniers vestiges de son innocence.
Pétrissant ses petits seins, une poignée de merde file droit dans sa gorge, elle veut jouer.
Cette trainée affiche un petit air coquin, lèche ses lèvres, avale ma merde.
Elle est si perverse, la merde lui colle à la peau, au torse.
Elle frémit, pose sensuellement, c’est tellement érotique, tellement bandant.
Ma souillon heureuse apprécie sa condition.

2) La putain sale adore être une toilette
La putain sale adore être une toilette, la putain sale adore être sale.
Ma femme esclave trouve du bonheur lorsqu’elle baigne dans ses propres excréments.
Elle est devenue si pervertie, qu’elle chie et mange ses crottins, boit son urine et régurgite avec le sourire aux lèvres, profitant de tous ces gestes sales.
Elle s’ébat dans son bain en s’enduisant les seins, le ventre, et le périnée de merde.
Excitée par la pensée de sa décadence.
Se caresse et jouit en geysers.
Elle est si comblée, elle vit dans son paradis sale.”

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