Aujourd’hui, je suis incroyablement excitée et lubrique, plus que d’habitude. J’ai passé la journée à me masturber, ayant éjaculé plusieurs fois et pourtant, j’ai toujours autant envie de baiser ! Alors que je me branlais dans mon lit, une idée brillante m’est venue en tête : et si j’appelais un esclave pour réaliser tous mes fantasmes sales ? Oh oui ! Je compose le numéro et commande un esclave directement dans ma chambre d’hôtel. Une fois qu’il est là, je lui mets des menottes ; maintenant il m’appartient ! Je sens que mes intestins sont remplis de sale et crémeux caca et je ne peux pas attendre pour me soulager sur lui. Tandis que je continue de me caresser, je lui ordonne de me regarder. J’aime voir son impuissance alors qu’il n’arrive même pas à se branler devant ce spectacle délicieux.
Je jouis avec force dans mon pantalon après m’être doigtée jusqu’à un orgasme bruyant et criard. Puis je frotte mes sécrétions sur son visage impuissant. Ensuite, debout au-dessus de sa tête, je pisse complètement sur lui puis fais caca dans mon pantalon avec une texture vraiment crade. Fou de désir, je colle son visage contre mon derrière plein de merde et lui ordonne de respirer profondément. L’odeur est tellement forte qu’il lutte pour ne pas vomir, mais sans grand succès. Je prends plaisir à réaliser mes fantasmes les plus salaces sur lui et y trouve une grande satisfaction sexuelle. Le pantalon tombe, révélant mon string sexy et mon derrière extrêmement sale ainsi que mes jeans souillés. Je lui ordonne de s’allonger et je frotte mes jeans sales sur son visage comme il l’aime tant. Puis je l’asperge entièrement d’urine tout en étant ligoté. Je recouvre tout son corps de ma merde nauséabonde. Mais je décide quand même de lui faire une petite friandise spéciale ! Je sors une sucette et la couvre entièrement de ma merde épaisse et collante. Je m’assure qu’elle soit bien trempée en l’enfonçant dans mon cul, la rendant encore plus sale. Et ensuite je lui ordonne de l’ouvrir et d’avaler cette chose dégoûtante. Il doit apprécier…
Et vous savez quoi ? Vous allez rester toute la nuit, esclave. Car je ne suis pas encore rassasiée…