Elle poussa l’esclave plus âgé dans la cuve, car elle aimait aller sur la cuve. Il y avait tellement d’espace ! Cela lui semblait parfait. Le nabot ouvrit grand la bouche et attendit que la maîtresse soit suffisamment à l’aise. Elle se rapprocha suffisamment pour que son anus ne soit qu’à quelques centimètres de sa bouche. Le gros turd vert sortit lourdement, avec des jus et de petites flatulences s’échappant en cours de route. Des éclaboussures de merde recouvrèrent le menton de l’esclave alors qu’il luttait pour mâcher et avaler les excréments au fur et à mesure qu’ils sortaient. La maîtresse appréciait cette forme de discipline et veilla à ce qu’elle puisse bien faire sortir la plus vieille portion de matières fécales de ses intestins.