Je ligote mon esclave au milieu de la pièce, des chaînes le maintiennent solidement aux murs latéraux pour que je puisse faire ce qu’il me plaît de son corps nu. Je suis curieuse de savoir s’il souffrira plus des deux kilogrammes que j’ai attachés à ses mamelons ou des claques que je lui administrerai. Oui, car mes mains ont très envie de frapper son petit visage angélique jusqu’à ce qu’il devienne rouge et brûlant. Tout d’abord, je veux qu’il sente la odeur du latex de mes gants, qu’il en soit attiré avant d’être sévèrement puni et violemment frappé par eux ; puis, je retire les gants car je veux aussi ressentir avec mes mains nues : mes mains continuent à maltraiter son visage, grâce également aux bagues que je porte à tous mes doigts et qui le défigurent presque jusqu’au point d’ouvrir des plaies sur son visage. A genoux pour les derniers coups qui font également tomber les poids de ses mamelons, des mamelons maintenant écrasés et détruits : jugez par vous-même si mes mains ou ces deux kilos sur les mamelons étaient plus lourds…