Dénudée, attachée et recouverte d’un masque ne laissant apparaître que les yeux, la bouche et deux trous pour le nez. Je suis sur le point de lui enlever littéralement son souffle, il l’a compris et son rythme cardiaque s’accélère alors qu’il me voit m’approcher. D’abord avec une main puis avec les deux, je bouchonne son nez et sa bouche, il se débat et ensuite je le laisse reprendre son souffle. C’est dans mes cordes mais après un moment, mes mains ne suffisent plus, je couvre sa bouche avec du ruban adhésif, il ne lui reste plus que deux petits trous pour son nez qui lui permettent de survivre : désormais, il ne me faut que deux doigts pour lui prendre son souffle. L’oxygène vient à manquer, les yeux sortent de leurs orbites. Je lui accorde une pause avant de passer derrière lui et de recommencer. Il a été un bon esclave, il a résisté : la récompense finale sera de pouvoir embrasser et adorer la main qui l’étouffait.