Vêtue de noir, avec des bottes en cuir haut perchées, je suis assise sur le trône comme une véritable reine, tandis que l’esclave nu gémit, attaché à la croix : il n’a pas encore goûté à mon fouet et déjà, il frissonne.
Je me lève et commence à le frapper avec les nombreuses lanières de mon fouet, malgré son bronzage, la rougeur de sa peau devient visible et il a chaud.
Je fais de très courtes pauses mais seulement pour enfoncer mes ongles dans sa chair et ressentir la chaleur de sa peau enflammée. Je le gratte comme un chat puis recommence à le frapper jusqu’à ce qu’il supplie pour avoir pitié.
Je lui permets de compter les cinq derniers coups, mais ils seront avec le serpent acéré fouet. À la fin, je montre ma clémence, je le détache et le laisse tomber au sol pour embrasser mes bottes.