LANGUE ITALIENNE : J’ai laissé l’esclave enfermé dans le casier pendant une journée entière, avec les mamelons pincés. Je me demande s’il est toujours vivant, deuxièmement dans quel état seront ses seins. Je le laisse sortir et je suis presque surprise de le voir encore en vie ! Il dit qu’il m’attendait. Et si je ne revenais pas ? Je saisi la corde qui maintient ses poignets et je l’emmène au pré. Ses seins sont ballottants, les poids les tirent vers le bas. Je l’attache au casier et lui fais asseoir avec ses mamelons continuellement tirés. Je joue avec eux, je soulève les poids et les laisse retomber, j’examine les pinces qui y sont attachées et qui n’ont manifestement pas l’intention de se détacher. Je le fais souffrir et cela me procure du plaisir. Je retire progressivement les poids petit à petit, ne laissant que deux attaches, une sur chaque sein, jusqu’à ce que je tout enlève. J’admire ces mamelons déformés, allongés, compressés, façonnés selon mes goûts…