Je suis installée sur mon trône, je sirote de l’eau et pose mon verre, donnant une utilité à cette table humaine qui orne mon salon. À mes pieds, deux esclaves agenouillés avec lesquels j’ai l’intention de jouer : je leur fais approcher mais il faut un certain temps pour qu’ils comprennent comment ces deux imbéciles doivent s’arranger. Je veux les avoir en face de moi mais légèrement de côté car je vais écarter les jambes et mettre un pied dans la bouche de chacun d’eux. Je les fais retirer mes escarpins rouges, que je place sur ma table humaine et enfonce immédiatement mes pieds dans leurs gorges. Je les entends gémir, tousser, baver, presque vomir tellement que je dois leur accorder des pauses courtes au cours desquelles contempler mes pieds mouillés de leur salive.