J’adore cet escalier en colimaçon, il offre juste l’espace nécessaire pour que les mains de mon esclave apparaissent entre les marches alors qu’il est dissimulé sous les escaliers. C’est toujours excitant de descendre et de trouver la surprise de ses mains prêtes à être piétinées. Aujourd’hui, soit dit en passant, je porte de nouvelles bottines à talons larges à la cheville, je ne les ai jamais utilisées pour marcher sur lui auparavant et j’ai hâte d’essayer. Je presse ces doigts charnus jusqu’à ce qu’ils s’amincissent tout en ignorant ses gémissements de douleur : seule quand je suis satisfaite, je le libère de son repaire pour qu’il embrasse les chaussures qui ont causé sa souffrance.