Après plusieurs jours de solitude dans une cage, je retourne vers mon chien soumis qui m’attend avec impatience. À peine me voit-il arriver qu’il se met immédiatement à genoux et je lui offre l’occasion de me saluer en embrassant et suçant le gros orteil et les talons de mes bottes noires. J’ai envie de piétiner un peu et j’aimerais le faire à l’intérieur de la cage, profitant de l’ouverture sur le dessus par où je descends. Je tombe sur le ventre mou de son estomac et commence à y laisser des marques profondes avec mes talons hauts : je presse et marche sans jamais rester immobile au milieu des cris de douleur mélangés aux plaintes de bonheur du serviteur. Je lui permets d’enlever mes bottes, le plaisir de découvrir mes pieds gainés de bas noirs est interrompu instantanément par les coups que je lui inflige avec mes pieds nus marchant sur lui. Je poursuis avec des fessées debout prolongées pendant qu’il transpire comme un cochon en dessous, quel dégoût…
Maintenant, je le laisse encore une fois pour quelques jours mais cette fois, je lui laisse mes bottes pour compagnie. Je suis trop attentionnée.