Ressentir la bouche des toiletes en attente sous vous, sentir sa chaude haleine tremblante, est un tel bonheur. Sentir son incertitude, peut-être même sa peur de l’inévitable, se détendre et relâcher des jets de merde et d’urine dans sa bouche, sur son visage. La vue d’en haut excite et touche, c’est une telle poussée d’énergie, de force.
Baise au poing et au pied d’esclave, pipi du matin : Quel plaisir de dilater les fesses d’un esclave à grande échelle, afin que je puisse le baiser avec ma main et mon pied, de sorte qu’ils entrent facilement en lui et qu’il gémit de plaisir. Et encore mieux, lui pisser dans la bouche pendant le matin, pour qu’il boive, avale cette forte urine du matin. Au moins pour cela, il valait la peine d’avoir un mari esclave, afin que je puisse obtenir ces petits plaisirs à tout moment.
Mon caca a le goût de fruits Kaça : Regardez ce tas de caca. Et cette salope ne peut pas le manger. Je voulais tant faire caca que je lui ai déversé une grosse quantité de caca dans la bouche, et il fronce le nez. Mange donc, sale garce, mange, ouvre ta bouche. Dis-moi quel goût a mon caca, parle plus fort. Que dis-tu ? Comme les fruits Kaça ? Savais-tu ce que sont les fruits Kaça ? Et mon futur mari-toilette le sait. J’ai mis mes doigts dans ce diarrhée doux dans sa bouche. Je vais en faire un véritable amateur de merde.