Un jour, j’ai pensé que ce serait amusant de faire en sorte à mon ami de se masturber tout en m’observant. J’entrai dans la pièce et lui dis que j’aime me chier dessus dans ma culotte en me caressant. Je baissai un peu mon pantalon et commençai à me toucher au-dessus de ma culotte. Est-ce que cela te rend dur ? demandais-je ? Pourquoi ne commencerais-tu pas à te branler alors que je t’observe ?
Il était impuissant, il commença à se caresser tandis que je le regardais. Cela m’excitait, aussi commençai-je à me frotter encore plus fort. Mon pantalon avait glissé et je me frottais encore plus fort. Je le suppliai de se branler plus vigoureusement pour moi. Allez, branle-toi pour moi, dis-je, je veux te voir jouir.
Je commençai à avoir des petites vagues de plaisir orgasmique lorsqu’il obtempéra. Je me fis une petite commission dans ma culotte afin qu’il puisse me voir de face. S’il te plaît, branle-toi plus fort pour moi, dis-je, je vais me chier dessus en jouissant !
Le sentiment que je ressentais était absolument exquis. Mon visage trahissait combien je désirais qu’il admire mon corps plantureux. J’étais proche, dis-je, je vais jouir. Je remplis ma culotte de merde et eus un orgasme qui fit frissonner mes orteils.
Je lui montrai comment je m’étais salie, le taquinant davantage. Puis je mis mon pantalon directement par-dessus. Ohh, j’adore ces échappées sales et impromptues !