Humilier la garce de bureau

Le petit crétin de bureau est à ma disposition, les yeux rivés sur mes pieds magnifiques, emmitouflés dans leurs collants en nylon. Tout en vaquant à mes tâches professionnelles, je le maintiens sous mon charme en agitant mes talons blancs devant lui. Prêt à exécuter chacun de mes moindres désirs, il commence par aller me chercher un café qu’il doit me présenter à genoux, selon les règles de bienséance du serviteur de bureau modèle. Puis, il reprend sa place à mes pieds.

J’apprécie particulièrement de retirer délicatement mon talon de ma chaussure pour libérer l’arôme puissant qui s’en échappe ; cela plonge ces misérables mâles bêta de mon bureau dans une esclavage et une soumission sans espoir envers leur supérieure hiérarchique féminine.

Je prends alors appui sur mon bureau avec mes pieds gainés de nylon pendant que le lamentable employé de bureau nettoie consciencieusement la saleté incrustée au creux de mes semelles tout en rédigeant un projet de contrat.

Afin de bien enfoncer le clou, je ne manque pas de souligner haut et fort la différence de statut qui nous sépare et de mentionner son prochain entretien individuel : « Je vais voir si tu te montres aussi habile à faire briller mes escarpins blancs et à masser mes petits petons transpirants après ton travail », ajoutai-je en riant.

Pour terminer, je lui ordonne de renifler longuement toutes les odeurs imprégnées dans mes bas en nylon et de continuer à masser mes pieds – cette fois avec son visage –, avant de lui rappeler combien il était minable et indigne de toucher qui que ce soit d’autre que mes pieds.

Il devient littéralement mon marchepied vivant lorsque je pose mes jambes gainées de nylon sur son dos en lui demandant de m’admirer tandis que je continue de proférer des insultes à son égard.

Avant de partir rejoindre mon amant pour une partie fine à midi, je lui fais savoir que mon compagnon adore caresser mes pieds et embrasser mes chaussures, sentir mes socquettes malodorantes… Là encore, j’éprouve un immense plaisir à l’humilier ainsi !

Une dernière injonction avant de partir : « Un jour, peut-être, il me fera même l’amour directement sur mon bureau pendant que tu laperas avidement mes pieds. »

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