Le Canvas esclave est enfermé dans une contention corporelle complète et étroite. Aucune évasion ni mouvement n’est possible. Mademoiselle Yara entame son jeu pervers en se prélassant de manière suggestive sur le canevas. Elle grimpe avec désinvolture et plutôt imprudemment sur lui.
On comprend alors ce que va devoir affronter Canvas. Il ne joue pas un rôle. La façon dont il perçoit la situation importe peu. Tout l’intérêt de Yara est dévolu au membre proéminent et énorme.
Elle le gratte et le stimule pendant un moment avant d’appliquer une pompe à pénis. La pompe aspire profondément le sexe. À chaque pompage, le membre déjà très érigé est encore plus gonflé. Cela fait malement ventouse sur le corps du pénis.
La bite remplit presque déjà toute la pompe. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle la relâche enfin. On pourrait penser que l’esclave mérite maintenant une récompense pour cette épreuve. Au lieu de cela, il se retrouve frustré dans sa cage à pénis.