Genkei, l’esclave chauve, riait lorsqu’on lui mit l’expandeur buccal. Ils n’avaient pas besoin de le faire, mais c’était un bon humain-toilette, et son avis était tout ce qui comptait après tout ? La maîtresse s’assit sur la bouche de Genkei et lâcha une flatulence sans cérémonie, libérant un pet long et puant qui avait le goût du paradis. La maîtresse avait beaucoup bu, et son estomac n’était pas content. Son excrément glissa bruyamment hors de son anus et elle eut un peu de mal à sortir toute sa merde en un seul morceau. En poussant fortement, la moitié de ses excréments finirent sur la poitrine de Genkei, et il sourit parce qu’il vit les excréments se casser et manquer sa bouche. Sa bouche était remplie jusqu’au bord d’excréments mâchés, qui étaient recouverts d’une croûte marron et jaunes et filandreux à l’intérieur. Les délicieux excréments avaient un goût amer et sucré à la fois, et Genkei en redemandait encore plus de cette matière molle et facile à avaler. La maîtresse attrapa la langue de Genkei avec une paire de pinces et joua avec les excréments déjà dans sa bouche. Genkei rit quand les pinces écrasèrent et tordirent les excréments et relâchèrent davantage de saveurs putrides dans sa bouche. C’était une belle journée pour être un humain-toilette.