La soirée pour l’élite japonaise fut un succès, surtout lorsque les madames découvrirent une rareté exceptionnelle qui les attendait. En entrant dans l’une des salles secrètes de la demeure, elles trouvèrent deux toilettes humaines immaculées et prêtes à l’usage. La madame plus âgée fit glisser les grosses jarretelles de ses sous-vêtements et rit en sentant des boursouflures épaisses de merde prêtes à déborder de son cul. Son ventre trembla après avoir trop mangé, et l’esclave de la merde qui l’attendait pour son cadeau avala avec difficulté en réalisant qu’il recevrait une charge bien plus importante dans sa bouche. Pétant bruyamment, la madame plus âgée commença à pousser des bûches épaisses et collantes de merde brun foncé et puante dans la bouche et autour du visage de l’esclave de la merde. L’esclave de la merde se mit immédiatement à mâcher, veillant à ce que rien ne soit gaspillé. La jeune madame avait des rubans plus minces de merde plus claire qui se couchaient délicatement dans la bouche du deuxième esclave, et le deuxième esclave frotta sa langue contre le palais de sa bouche alors qu’il goûtait un fromage aigre et avarié, et il adorait la finesse de tout cela. Une fois terminés, les deux esclaves procédèrent à nettoyer les deux madames avec leur langue et leur bouche, s’assurant qu’ils avaient recueilli tous les petits morceaux de merde. C’était une bonne journée pour les toilettes humaines.