Chaque matin, mon toile attend sur le sol, comme à son habitude. J’ai envie de m’en servir. J’ai installé des bagues autour de sa verge pour qu’il reste excité plus longtemps et pour que je puisse lui montrer que cette bite m’appartient. Je lui attache les mains et commence à le frapper et à le taquiner. Je l’ai tellement bien dressé qu’il n’est excitée que par mon odeur et mon goût. Je m’assois sur le toile tout en l’instruisant pour qu’il renifle et lèche. Il humidifie mon anus pour que je puisse pousser plus facilement et il peut ainsi gouter au petit déjeuner que je vais lui servir directement. Enfin, arrive le moment tant attendu ! Je peux chier dans sa bouche et il peut consommer mes précieux déchets. Après cela, je commence à le punir. La seule fois où je permets une érection, un orgasme et du plaisir, c’est lorsque ma merde est dans sa bouche. Je le branle en lui expliquant ce qu’il représente pour moi : un toile, un sous-humain et un esclave le plus fidèle qui soit. Il a du mal à jouir à cause des bagues, mais à ce stade, j’ai déjà perdu tout intérêt à le faire jouir. Garder ses esclaves dans le manque est un bon moyen de les rendre obsessionnels vis-à-vis de moi. Je le frappe à nouveau et recrache dans sa bouche, car je suis une déesse clémente et que c’est toute l’affection dont le toile sera jamais capable de recevoir de ma part.