Ma femme-esclave dégoulinante est une chienne, toute humide. Elle s’est agenouillée devant moi à l’entrée en suppliant que je lui défonce et étire la chatte et le cul. Je n’ai pas hésité longtemps. J’aime développer et étirer les trous de ces salopes. Je fourre mon pied dans sa chatte, elle a des trous comme des seaux sans fond, tout ce qui entre s’engouffre profondément. Oh Dieu, qu’il y fait doux, agréable et chaud, j’allais jouir de plaisir.