Ses désirs et ambitions deviennent de plus en plus forts. Elle est maintenant tellement accro à la merde qu’elle ne peut pas s’empêcher d’en prendre, de se badigeonner dessus et de la goûter. Elle chie silencieusement, regarde autour d’elle et cache ce qu’elle fait, puis étale généreusement la merde sur son visage. En se frottant la merde sur le godemichet, en gémissant, elle suce avec plaisir comme si c’était une sucette pleine de merde. Le goût de la merde est maintenant un plaisir pour elle. Satisfaite, elle allume une cigarette avec les mains sales et couverte de merde.