Double Déjection

Vous verrez ma démarche majestueuse alors que j’entre dans la pièce et vous observerez ma beauté gracieuse depuis votre point de vue en hauteur pendant que je fais le tour de l’esclave, guettant ma proie. Je porte une robe classique en dentelle noire et des talons hauts, mais comme ma peau est si parfaite, je n’ai pas besoin de bas ou de culotte. La toilette est impuissante avec ses bras liés et ses jambes attachées au mur. Alors que j’applique des pinces à mamelons, je me penche en avant, disant : Tu es une toilette. Tu es MA toilette. Je lui permets seulement d’adorer mes chaussures.

Ses jambes et son derrière offrent une cible tentante pour mon fouet, mais il s’agite stupidement pour essayer de s’enfuir.

Je retire mes chaussures et pose un pied sur l’épaule de l’esclave tout en m’accroupissant avec mon magnifique trou du cul directement sur sa langue. Comme un porcelet affamé, il lèche et suce mon trou du cul comme si sa vie en dépendait.

Attaché à mon trou du cul, il aspire littéralement les excréments hors de mon saint trou du cul. Je me relève pour regarder derrière moi, une image de dégradation avec un peu de merde dans sa bouche.

Plus tard, je reviens et avec le besoin urgent de déféquer à nouveau. Je mets un siège de toilette sur sa tête et lui accorde un autre précieux cadeau dans son visage méprisable.

L’esclave a une main libre qui commence à se toucher, se masturbant, tout comme vous le faites en ce moment, n’est-ce pas ? Dans un geste rare de bonté, je décide d’aider l’esclave à se dégrader encore plus et commencer à me masturber l’homme-toilette. Bien que l’esclave soit trop répugnant pour qu’aucune femme ne veuille avoir de relations sexuelles avec lui, pour une raison quelconque, il a une bite plutôt grosse. Un engin de cette taille est terrible à gaspiller sur une toilette ! Mais j’apprécie de me branler et quand il éjacule, j’apprécie encore plus de lui faire nettoyer son « jus » de cochon. Les esclaves ne devraient jamais être autorisés à ressentir du plaisir sans être humiliés.

Imaginez la honte que le pervers éprouve avec le goût de merde toujours dans sa bouche et après sa dépression orgasmique en mangeant sa semence ! Mais vous n’avez pas à imaginer. Je sais que vous riez de votre petit pénis tout en bavant sur ma beauté et en imaginant être ma toilette. Admets-le ! Accepte ton destin ! Degrades-toi et supplie d’être digne de ma merde. Maintenant, termine ta masturbation et mange ta saleté ! Fais-le, toilettes ! En mettant ton abject pus dans ta bouche, dis ces mots à voix haute : « Je suis une toilette. JE SUIS TA TOILETTE, MADAME ANNA ». N’aimeriez-vous pas pouvoir dire ces

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