La vue de mon parfait fessier est à couper le souffle. Cette fois, je lui réserve une petite surprise. Surprise ! Des diarrhées ! L’esclave tente de laisser s’écouler dans sa bouche mais une grande partie finit empilée sur son visage.
J’étais tellement amusée par ce spectacle que vous pouvez entendre mon rire musical en regardant l’esclave. L’esclave est si pathétique que j’émettrais presque un son qui pourrait être interprété comme de la sympathie. Et comme si mon offrande odorante et semi-liquide ne suffisait pas à embellir son visage, j’ajoute même ma salive.