Délices turcs en direct de l’intimité de votre maîtresse préférée

Hier, Christina est rentrée de Turquie et m’a immédiatement écrit : « Je suis rentrée et j’ai envie de faire caca ! ». Elle se prélassait au bord de la mer avec son petit ami, ils faisaient l’amour et dégustaient divers plats à base de fruits de mer. J’attendais impatiemment son retour, car mon pénis était verrouillé dans une ceinture de chasteté masculine et je ne pouvais pas me masturber, toutes mes pensées étant centrées sur Christina et le fait qu’elle allait bientôt revenir et utiliser à nouveau mes toilettes. Hier, j’ai découvert que Christina avait parlé de moi à son petit ami, qui avait réagi normalement ; elle n’aurait donc plus besoin de cacher qu’elle dispose d’un WC personnel.

Les excréments de Christina cette fois étaient liquides et avaient une odeur forte. Lorsqu’elle s’est soulagée dans une assiette, une odeur vive et sucrée a chatouillé mon nez, mais après quelques secondes, je ne l’ai plus sentie. Le goût était toujours aussi salé (comme d’habitude) ; lorsque je l’ai avalé, mon esprit a tourné en rond. Christina était assise devant moi en lingerie sexy, ce qui m’a aidé à maintenir une forte excitation et à avaler plus rapidement. Christina a rempli une cuillerée après l’autre dans ma bouche, elle n’aime pas attendre, elle voulait que je fasse mon travail le plus rapidement possible pour qu’elle puisse partir. Lorsque Christina s’est soulagée dans une assiette, je lui ai demandé de nettoyer son anus sale et elle a accepté ; j’en étais ravi, elle ne permet jamais qu’on lui fasse un cunnilingus ou même qu’on la touche, mais après être allée aux toilettes, je peux nettoyer son anus avec ma langue. Après le départ de Christina, j’ai ressenti des nausées pendant 2 à 3 heures, mais j’ai tenu bon et j’ai été obligé de digérer les excréments de ma maîtresse bien-aimée ; tel est le sort de chaque esclave des toilettes.

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