Comment dire non à une discipline au fouet ? Notre esclave est attaché par les mains et ne peut pas se défendre. Tant mieux, car nous pouvons ainsi le châtier sans pitié avec nos cannes ! Nous frappons son postérieur et son dos, mais laissons également le fouet s’abattre sur la plante de ses pieds et son ventre ! Le perdant ne mérite rien d’autre et, en effet, nous remerciera à la fin pour la punition ! Après l’avoir délié, il y a encore plus de coups de fouet et ensuite il doit embrasser nos chaussures !