Je crème cette soumise pièce de merde avec toute ma passion ! Ses mains sont liées dans le dos, alors que je traîne son corps jusqu’au plafond. Ce bon à rien ne peut même pas bouger d’un pouce sans aide ! Place aux gants matelassés … Je fais rougir et bleuir les fesses nues du malheureux ! Son devant est écrasé par mon fouet, jusqu’à ce que ses couilles soient réduites en purée. En même temps, il doit compter les coups sous la plus grande douleur, mais il se montre assez résistant. Comment pourrait-il ensuite supporter quelques pinces à tétons ?! Ma tête regorge d’idées pendant que ce vermine commence à geindre comme une chochotte !