Atsuya n’est pas en forme ces derniers temps. Je la vois constamment aller et venir aux toilettes. Mais je ne suis pas du genre à me plaindre : plus pour moi ! Et j’adore les repas fréquents. Aujourd’hui, Atsuya vient me rendre visite l’après-midi, avec son teint pâle tout chiffonné. Je sens que ses entrailles la tourmentent encore une fois. Son anus cru est un mélange de rose et de rouge à force de s’essuyer. Elle sent divinement bon ; j’ai toujours aimé l’odeur du sueur et de la merde qui se mélangent et s’accumulent sur l’anus. Son trou du cul s’ouvre grand, révélant une malheureuse crotte, mince et crémeuse dans sa consistance. L’odeur est écrasante, mais elle me donne des frissons de plaisir alors qu’elle tord le visage pour évacuer ce magnifique présent. Son trou du cul refuse de serrer cette timide crotte, et Atsuya continue de pousser jusqu’à ce qu’elle soit toute sortie d’un coup.