Je défèque dans la bouche de mon esclave jusqu’à ce qu’elle soit remplie, puis j’utilise ma position dominante pour lui empêcher de respirer en m’asseyant sur son visage. Il est obligé de haleter et d’aspirer profondément chaque fois que je lui accorde une bouffée d’air.
Chaque inspiration est un supplice alors qu’il avale de force ses propres excréments. Mais lorsqu’il réalise que sa langue a aussi touché mes collants pendant tout ce temps… il devient fou de peur comme un petit chat.