Aujourd’hui, ma victime est une femme, une esclave particulièrement chatouilleuse et j’ai hâte de jouer avec elle. Je l’ai installée sur une banquette très spéciale pour l’immobiliser à quatre pattes, et je lui ai attaché les mains et les poignets afin qu’elle ne puisse pas se révolter. Armée uniquement de mes longues ongles et d’une brosse à cheveux, je commence à m’amuser en commençant par les pieds. La brosse sur la plante des pieds est insupportable et l’esclave se tortille immédiatement : je continue avec mes mains qui remontent le long des jambes jusqu’au tronc et aux aisselles. À ce stade, elle est vraiment au bord de ses limites et il devient difficile de distinguer entre les rires et les cris alors qu’elle se tord et risque de tomber malgré les liens. Elle peine maintenant à respirer, si bien que je me convaincs de lui accorder une pause pendant qu’elle m’embrasse les mains en signe de gratitude.