Mon esclave me surprend, pour une fois il a écouté mes ordres et je le trouve à quatre pattes sur les marches. Mes bottes sont pleines de boue et je ne peux pas attendre pour l’écraser et le salir : je monte sur son visage et son dos, mais je veux aussi ses mains et je les place sur la marche afin que je puisse piétiner tous ses doigts durement, un par un… Il gémit continuellement de douleur, mes semelles en caoutchouc dur vraiment blessent mais je continue sans même épargner sa tête et je monte dessus jusqu’à ce que son crâne soit déformé.