Sous la croix de Saint-André, c’est là que je trouve mon esclave, à genoux avec son visage tourné vers le sol et ses bras étendus. Et ce sont précisément ces derniers qui retiendront mon attention aujourd’hui, bras et mains, pour les écraser jusqu’à entendre les os craquer. Je porte une petite robe en cuir noir ainsi que les bottes que je chausse et ce seront elles qui le détruiront. Les talons s’enfoncent laissant des marques visibles, les cris de douleur accompagnent mon plaisir alors que je le domine comme une déesse impitoyable jusqu’à ce qu’il glisse contre le mur pour que je ne puisse plus le voir, ne lui laissant que la possibilité de lécher les talons qui l’avaient écrasé quelques instants auparavant.