Je suis la Maîtresse, et mes esclaves sont plongés dans une extravagance sale de sexe scato, remplie d’orgasmes époustouflants et parfumée à une multitude d’excréments malodorants. Partout où vous regardez, il y a des excréments : sur mon corps, sur mon visage, recouvrant ma femme esclave qui se tord et suce, souillant également la verge de mon esclave. Les excréments nous enveloppent comme une deuxième peau, s’infiltrent en nous, tentent de fusionner avec nos corps. L’odeur nauséabonde des excréments est dans l’air, elle imprègne les pores, emplit les poumons, devient notre essence, notre tout. Mes esclaves ont besoin de profiter pleinement du plaisir sale procuré par les excréments, qu’ils deviennent pour eux un élément intégral du plaisir, de l’orgasme, de leur compréhension du sexe.
Ma femme esclave est une catin salope de toilettes, ravie de baiser dans les excréments, d’aspirer une verge crasseuse avec des excréments dans sa bouche, incapable de s’en passer. Suce, salope, pompe, savoure-le pendant que je te laisse faire. Maintenant, tu vas me satisfaire avec ta langue dégoûtante, lécher ma chatte et mon cul, m’amener à l’orgasme. Oui, encore plus, ne t’arrête pas, j’arrive, encore plus, ne t’arrête pas… c’est magique.