Aujourd’hui, j’ai ordonné à mon mari esclave de prendre un gros engin et de me baiser pour que je puisse prendre mon pied. Si lui désobéit ou ne s’acquitte pas bien de sa tâche, je le fouetterai avec un fouet. Allez, commences à travailler, esclave, le soleil est encore haut. Oui, c’est ça. Oh, quel gros engin, dieu m’en préserve, une femme ne devrait pas avoir un mari avec un tel engin. J’ai l’impression que tout va éclater, et c’est si agréable que c’est impossible à supporter. Oui, baise-moi, j’ai envie de me chier dessus, oui, c’est une sensation inoubliable. Continues, je ne t’ai pas dit d’arrêter. Merde, je jouis, je jouis continuellement et je ne peux pas m’en empêcher. Des jets d’urine sortent de ma chatte enflammée, je me suis pissée dessus, je me suis pissée de l’orgasme, pour la troisième fois en 5 minutes. Baiser, je l’admets, j’avais tort, quel frisson d’avoir une grosse bite dans la chatte. Sensation folle.